lundi 19 juillet 2010

Ecosse été 2010 - Arrivée sur les terres de William Wallace (19/07)

Après être passés chercher Pierre, Laura et Fabien, Emeline nous emmèna à Charleroi pour des vacances prometteuses.
Une fois à l'aéroport, premiers déboires. L'endroit où nous étions était l'ancien terminal, fermé depuis 3 ans. A y regarder de plus près, cela semblait évident, le parking désert et gratuit, et ce n'étaient pourtant pas les panneaux l'indiquant qui manquaient. Mais dans la précipitation, nous ne les avons pas vus tout de suite. Nous avons donc repris la route vers le nouvel aéroport. Une fois notre véritable destination (ou point de départ) atteinte, nous nous sommes pliés aux contrôles et enregistrements d'usages avant d'embarquer à bord du Boeing 737 faisant cap vers Glasgow (Prestwick).
Atterrissage réussi, bagages récupérés, il ne nous manquait que la voiture. Bonne surprise, une Opel (enfin non ici on ne dit pas Opel mais Vauxhall) Astra toute neuve, alors que nous redoutions devoir rouler dans une vieille charrette.

Nous décidâmes de prendre la direction de Oban, petite ville au bord de mer. La route était pluvieuse, mais les deux haltes que nous fîmes furent parfois agréablement ensoleillées.
La première : Duck Bay, où nous avons pris notre premier repas accompagnés de canards, forcément, mais aussi de mouettes et de corbeaux. Un morceau de pain jeté et nous étions transportés dans l'un des plus célèbres films d'Hitchcock. Nous avons ensuite continué notre pause en longeant le Loch Lomond, alors que la pluie revenait.

Notre deuxième pause, après un réveil difficile, fut dans l'église de Caroline Campbell et la chapelle de Robert the Bruce, roi d'Écosse ayant combattu avec William Wallace. Le cadre était magnifique et les appareils photos fumaient dès le premier jour, que se soit pour immortaliser le bâtiment en lui même, son cloître, le gisant du roi, ou bien la magnifique vue sur le Loch Lomond que nous avions continué à longer en voiture.

Une fois à Oban, le problème du logement dû être réglé. Après une recherche infructueuse à l'auberge de jeunesse où la réceptionniste était française (vive le dépaysement), nous partîmes vers le camping le plus proche où nos trois tentes 2'' allaient servir pour la première fois et faire leurs preuves. L'accueil n'était pas des plus chaleureux et l'état des sanitaires reflétait cette sensation de trop peu... Une fois le campement établi, le temps d'un succint repas en bord de mer et deux photos de la vue, et voilà que la pluie était revenue, elle qui nous avait quitté peu de temps avant Oban.




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